Réception: La mort est ma maison de Florence Meney

Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j’ai réalisé que La mort est ma maison de Florence Meney était non pas un roman, mais un recueil de nouvelles! Pour ceux et celles qui me suivent depuis un petit moment déjà, vous savez que cette session je suis le cours Nouvelle et autres genres narratifs et que de la nouvelle, j’en lis plus qu’il n’en faut! Enfin, je ne me suis pas trop découragée, car c’était tout de même un peu policier et sanglant. J’ai donc tout simplement débuté ma lecture sans trop me casser la tête.
Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j’ai réalisé que La mort est ma maison de Florence Meney était non pas un roman, mais un recueil de nouvelles! Pour ceux et celles qui me suivent depuis un petit moment déjà, vous savez que cette session je suis le cours Nouvelle et autres genres narratifs et que de la nouvelle, j’en lis plus qu’il n’en faut! Enfin, je ne me suis pas trop découragée, car c’était tout de même un peu policier et sanglant. J’ai donc tout simplement débuté ma lecture sans trop me casser la tête.
Sans aller dans trop en
détails, La mort est ma maison regroupe
plusieurs courts récits mettant à l’avant-plan le côté glauque qui sommeille dans
chacun de nous. De trois vieillards ermites qui finissent par s'entre-tuer à un
professeur qui se « débarrasse » de l’élève le moins performant chaque année et à
un journaliste intransigeant qui se voit pris à son propre jeu, tous présentent
une facette sombre de personnages ordinaires en apparence.
Vers la fin de l’œuvre,
quelques nouvelles tombent même dans la science-fiction. L’auteure imagine
notamment une société où la femme domine et où l’homme se retrouve la plupart
du temps castré. N’étant pas fan de ce genre littéraire, j’ai tout de même
apprécié le style de Florence Meney. En effet, sans grande envergure, ses
phrases sont claires et percutantes. Elle va droit au but.
Certaines chutes
étaient plus prédictibles que d’autres. Toutefois, la grande majorité de ses
textes offrait un moment de réflexion « post-lecture » à son lecteur. Les fins
ouvertes et la psychologie de ses personnages habilement développée
permettaient de se créer ses propres conclusions, ce que j’ai beaucoup aimé.
Encore merci au groupe
Librex pour ce livre léger et divertissant!
Florence Meney
Expression Noire (2017)
191 pages
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